Waoh : le Truc indicible des Machins
*tousse* *tousse*
Hum, bon, absence un peu prolongée mais cette fois j'ai une bonne excuse ( mais je soutiens que comme c'est les vacances et que peu viennent encore j'ai pas besoin de me justifier mais si, si ça m'fait plaisir, j'insiste chers lecteurs ! ).
Voilà, voilà *tousse encore* il se trouve que enfin j'ai trouvé un pôle négatif qui me positive ( comme quoi le prof de maths disait vrai quelques fois ) et qui en plus est charmant voire idéalistiquement incroyablement véritable, si vrai qu'on dirait même qu'il ne l'est pô. Flippant, non ? Hahaha ! Avouez !
Je t'aime.
Certes ce blog ne remet pas en question ses longues lamentations ( non non, j'ai un public attentif et une réputation de dépressive à tenir moi XD ), mais désormais elles seront d'un autre type ( du troisième pour être précise, uhuh, pardon... ). Hé oui car la menthe et le poil emprunt d'une coupe « gartisante » sur fond du générique de la Famille Addams ça vous change la vie en à peine une semaine de temps : j'ai enfin une étoile.
Je t'aime.
J'ai attendue, attendue, attendue en chouinant et menant un combat peut-être invisible mais actif à chaque seconde ( comme quoi je ne suis pas si molle du genou ) frisant l'incompréhension et la honte, amenant parfois au dégout chez autrui et pour autrui. Fini, c'est fini ! *esquisse quelques pas de danse* Merci ! Merci ! Tant de temps sans te voir de mon balcon, ou si, juste dans mes rêves et enfin te voilà !
( Il existe de véritables prémonitions... link ).
Je t'aime.
Donc te voilà, m'inspirant plus encore que la tristesse, que la douleur, que les étoiles mêmes. Passant les doigts dans l'or long et soyeux presque rouge d'un ancien mal profond, j'oublie. Heureuse ? Oui ! Oui ! Mais ce bonheur inspire un autre grand malheur, comme un contre-poids à celui-ci : celui de ne plus te voir. Ce fut si court, si long, si proche, si lointain, mais chose commune et connue de tous : jamais !! Je crois en l'unique comme je crois aux slaves fictifs.
N'empêche tu es plus que le bien venu Lioubov pour rejoindre Viktor, Nathaniel et moi.
Je t'aime.
Paris j'ai moins peur de toi ! Mais comme j'ai peur à présent !
Que le temps passe étrangement...