2 avril 2009
Sonnet nouveau, sonnet tout faux !
L’envers du décor
Stupide sonnet dissonant ou l’insolence dudit sonnet !
Oreilles ouvertes, épée à terre,
La main tendue, je saigne un peu.
Là, maintenant je ferme les yeux,
Au rayon de Lune qui m’éclaire.
Le cœur battant à tout briser,
Jambes et bras couverts de rosée,
J’en ai les poils tout hérissés :
Le chœur annonce mon arrivée.
†
Costume de pourpre et de soie noire.
Causes-tu l’ami de me grands soirs ?
Comment troubles-tu mon sermon ?
Vois-là le puissant sortilège :
Voila le rideau que se lève
Comme un nuage d’illusions !
Si le monde est un théâtre, ma vie est un jeu de rôle.
Ce n’est pas drôle de s’inventer le temps, mais c’est toujours mieux que de le perdre…
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